Cultiver son jardin...

Pass ou pas pass ? Vaccin ou pas vaccin ? Rentrée ou pas rentrée ? Toutes ces angoisses, ces questions, est-ce que je choisis de les accueillir dans mon énergie ?

« Ah, mais la situation est terrible ! Comment ne pas être en colère, comment ne pas avoir peur ? ».

Personne ne dit que c’est facile ! Il y a des choix à faire et pas seulement pour savoir si on reçoit ou non le vaccin. Car c’est moi qui suis responsable de mon énergie, de ce que je vibre.

Ok, impossible de se réfugier sur une île déserte. Impossible de faire comme si tout ce qui m’entoure n’existait pas. D’autant que je suis moi aussi une partie de ce grand tout et que ma vibration affecte et est affectée par tout/tous ce/ceux qui m’entoure(nt). Alors ?

Alors je suis attentive à émaner des pensées et mener des actions de la plus haute fréquence possible. Je cultive un jardin fertile où poussent la bienveillance et la compassion. J’arrose chaque jour avec tendresse les jeunes plants d’acceptation, de douceur et de gentillesse que je partagerai avec mes voisins. J’arrache les jugements, les rancœurs et les peurs qui se glissent entre mes fleurs de joie et de confiance. Je repère, sous la terre, l’inquiétude qui pointe, pour la déraciner avant qu’elle ne contamine mon parterre de vie.

Je choisis, pour embellir ce jardin, des graines de tout ce qui me fait du bien, m’amuse et me réjouit. Je cherche des essences nouvelles que je ne connaissais pas encore.

Dans cet espace intérieur où je passe mes journées, même lorsque je suis au travail, je reviens aux choses simples. A ceux que j’aime. A mes pieds dans l’herbe. A ma tête sous les étoiles. Et je respire. Puissamment.

Une coïncidence que la Covid affecte notre respiration ? Sûrement pas.

Un hasard qu’une respiration profonde, une pensée joyeuse élèvent mon taux vibratoire ? Sûrement pas.

Ma vibration de Joie, j’y tiens et je la cultive. En conscience. Lentement.