Question de perspective...
- assomoidabord
- 26 oct.
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Un jour, je décide qu’il n’y a plus de peur ou de doute.
Gamberger, souffrir ne se conjuguent plus à la première personne.
Pleurer parfois, mais c’est de joie.
Un jour, je décrète qu’il n’y a plus ni plaie ni bosse qui vaille,
Les blessures, elles restent sur les champs de bataille.
Ici, maintenant, rire est vivement recommandé.
Depuis, les esprits chagrins ne se lèvent plus le matin.
Mines renfrognées, mauvaises humeurs et douleurs chroniques,
Merci mesdames, passez votre chemin !
Vous savez quoi ? J’ai mis le monde cul par-dessus tête,
Ou bien est-ce lui qui m’a mise comme ça ? Je n’en sais rien.
On ne s’était jamais vus sous cet angle là, on a bien rigolé !
Et ça a tout changé.
Anne de Tarragon




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